La plupart des enfants ont une vie heureuse avec leurs parents, baigner dans l'insousiance. Ils grandissent dans une famille puis dans leur école, ils se retrouvent entourés de personnes qu'ils s'apellent << ami >> ou << copain >>, avec qui ils jouent au football ou encore aux billes et divers amusements. Ces la vie quotidienne de c'est enfant né du bon côté dès le début.
Puis, en dehors d'eux, un petit nombre, entouré de parents qui, dans leurs maison qui auraient ût-être un paradis, un cocon chaleureux, ne cessaient de se disputer ne relevant que les défauts de l'un et l'autre,de ce qu'ils n'ont pas fait et surtout aussi ce qu'aurait été leurs vie idillyque sans l'autre. Pourtant un jours ils se sont aimés, ce sont dit des tendres "
je t'aimes", ils ont même commencé à former une famille, mais après... Tout c'est déchiré , l'enfant ne peut qu'observer se demandant:
<< C'est de ma faute si maman et papa ne s'aiment plus? >> Puis plus agé aussi souvent vers l'âge de 6 ans, ne voyant que le problème s'agraver, cacher aux voisins ou aux amis de l'un et de l'autre, parvint à l'esprit du jeune enfant encore des pensées plus lugubres:
<< Dois-je disparaître pour que papa et maman s'aiment à nouveau? >>Mais pour certain se ne sont que des pensées qui s'oublient le lendemain lais revenant chaque soir puis perdu de nouveau dans l'amusement et le bonheur de ces amis.
L'autre parti? Ceux ne l'oubliant jamais? J'en fais parti. J'ai décidé de disparaître, pour le bonheur de mes parents, aussi surement le mien. Puis je n'allais manquer à personner? Mes parents dans leurs incéssantes disputes ne me calculer déjjà plus ou du moins juste lors de sortie, comme les courses de la semaine, où ils montraient juste une pièce de théatre m'étant au yeux de tous un bonheur qui était juste faux et dont je n'était pas naïf. A mes amis? J'en ai jamais eu, je me concidérai comme trop différents d'eux, ils ne parlaient que de leus bonheur qui m'avait semblait impossible pour moi à attraper, j'en étais aussi surement jaloux du bonheur dont ils avaient et pas moi. Je m'étais mis moi-même aussi à l'écart, peut-être que depuis le début j'avais l'idée de disparaître et que je m'étais préparer à sa...
Un soir, l'année de mes 11 ans, j'avais préparer mon sac pour le matin suivant comme je l'aurais fait tout les soirs. Mais cette fois-ci, dans mon sac noir, au lieu de s'entasser toutes sortes de livres de cours ennuyants et dont je ne participai pas, des vêtements toute à fait banals et de l'argent que j'avais accumulé depuis longtemps et dont j'avais volé une grande partie à mes parents qui n'avaient rien remarqué, assez pour vivre quelques jours, je ne sais pas précisément combien mais longtemps je pensaisn mais ce que je ferais après? Je ne savais pas mais j'espèrai d'avoir eu le temps de parti de mon pays pour un autre. Je ne voulais plus aucun point de contact avec mes parents et ma vie. On aurait pû penser qu'à une idée enfantine mais à mon sens c'était réfléchit à plus d'une fois.
Le matin je fit mine d'aller à l'école ayant pris de quoi manger toute la journée.Je m'étais dirigé vers mon arrêt de bus pour que personne ne me suspecte. J'étais triste à ce moment-là, même si rien ne me retenais ici, j'avais apprécié observer les autres enfants s'amuser et voir leur bonheur dont j'envié. Mais maintenant, il était à mon tour de chercher mon propre bonheur et aussi redonner leurs bonheur à mes parents en disparaissant de leur vie. A mi-chemin, je changea de destination.
~En terre inconnue~
Voilà plusieurs jours à présent que j'étais parti, exactement combien je ne sais plus, à vraie dire même je n'ai jamais compté. J'avais pacouru de long trajet entre des bus, des traibs ou encore à pied. Mes pieds me faisaient mal lorsque je marchais, de cela plusieurs jours, je n'avais quasiment plus un sou sur moi mais je n'étais plus chez moi, dans mon pays natal. Le soleil était radieux là où je me trouvais, comme je n'aurais jamais pensé le voir, il m'avait fait sourire légèrement me donnant de l'espoir. Il faisait même chaud.
J'entendais des voix d'enfants chantant une chanson dans une langue qui m'étais inconnue, elle ne me disait pas grand chose ou plutôt rien. J'aurais aimé allez les voir, mais qu'aurais-je pû dire? Je ne parlais pas leur langue et il ne connaissaient pas la mienne non plus à se que je pouvais suposer. Je continua ma route alors, plutôt perdu, même perdu tout simplement.
<< Est-ce que je m'approche de mon bonheur? >>J'espèra toujours, je ne voulais surtout pas perdre espoir. Si je perdai cette infine lueur d'espoir, alors peut-être que je perdrai ce bonheur avec... Je resta alors optimiste.
Ces rues pavées et ces petites maisons en pierres claires faisant penser à l'été, avec du linges qui pendaient au dessus de ma tête, tout se ressemblaient ici... Je ne voyais pas de point de repère.
C'était donc sa l'Italie? Des rues qui se ressemblaient? Un beau ciel bleu avec un soleil ardent?
~Chère inconnue~
Deux jours que je marchais sans savoir où j'allais, comme seul but le bonheur. Chaque jour qui se passait, j'oubliai un peu plus de mon passé, je ne pourrais même plus dire maintenant à quoi ressemblaient mon père ou encore ma mère, juste que je les apellais "papa" et "maman", quand je pouvais les appelés...
Je n'avais plus la force de marcher, j'avais marché depuis le levé du soleil, j'avais mal à jambes qui s'étaient au fil du temps à présent amaigris. Je m'étais arrêté à l'ombre buvant un peu à un robinet puis après avoir bu cette eau fraîche et claire je m'appuya contre un mur.
Alors que je m'appretais à repartir je ne sais où, je vis une femme au cheveux blond ondulés et à sa peau bronzé par le soleil et sans défaut, s'approcher de moi. Qu e pouvait-elle vouloir? Elle prononça des mots dont je ne comprenais nullement:
<< Ti sei perso, mio piccolo? >>
Qu'est-ce que pouvait-elle dire? Elle l'avait dit d'une façon si gentille avec un sourire qui m'étais à ce jours incconu. Je resta sans rien dire, à le regarder simplement... Que pouvais-je répondre de toute manière à cette parole dont je ne comprenais pas?
Cette jeune femme sembla comprendre que je ne voyais pas ce qu'elle venait de m'adresser, elle me tendit alors une main. Devais-je la prendre? Je ne savais pas du out mais je n'avais plus de lieu où me rendre.
<< Vieni con me >>
Je n'ais à présent plus rien à perdre, juste à tenter ma chance, je décida donc de suivre cette inconnue, lui attrapant la main dans une confiance totalement aveugle.
~Un renouveau?~
J'avais suivis cette femme qui m'avait tendu cette main qui, maintenant que je tenais comme un enfant tenant celle de sa mère, me semblais si chaleure et donneuse d'espoir dont je voulais prendre le plus possible pour atteindre mon but. Nous marchîmes seulement quelques minutes, elle conaissait la ville comme sa poche se qui bien évidement pouvait aider. Puis je vis une inscription blanche sur un fond bleu plutôt foncé où je pouvais y déchiffrer le mot << Gendarmerie >>. Enfin je n'eus pas de mal à deviner où elle m'avait emmener devant, où plutôt à l'intérieur à présent , d'une gendarmerie. Rien ne pouvais m'y trompe entre l'enseigne désignant ce lieu ou au drapeau italien qui flottait accroché au mur au pierres du soleil ou faisant penser à la couleur d'une lampe de génie. Puis les personnes se trouvant à l'interieur été vêtu d'un uniforme avec écris sur le revers d'une poche << Gendarmerie >>. La jeune inconnu parla à l'un d'eux qui me regarda de temps en autre en hochant de la tête pendant que moi, je m'étais assis sur l'une des chaises rembourés et confortables, tout en observant les lieux.
Ils ne parla que quelques seconde, ou deux trois minutes, je n'avais plus vraiment la notion du temps qui m'avait été juste rarement indiqué dans les gares ou des places avec des horloges à l'aspect vieilli. Le gendarme vint vers moi et me prenonça dans une langue que j'avais très souvent enttendu et aussi étudié en cours, un des seuls cours qui j'avais vraiment aimé, l'anglais.
<< What your name? >>
Mon nom? La force du temps m'avais fait oublier comment je m'apellais, on ne m'avais pas apellé depuis trop longtemps. Je fis un signe de tête d'un mouvement allant vers la droite puis vers la gauche puis prononçe enfin une parole maladroite:
<< I'm not remember >>
Je ne parlais pas très nien anglais puis je n'avais tout simplement pas parler depuis si longtemps à présent.
Le gendarme fît une tête d'étonnement, il devait surement se demander comment on pouvait oublier un prénom. Il regarde quelque chose sur un ordinateur puis regarda la femme et lui dit quelque mot. J'avais l'impression qu'ils se connaissaient.
La femme avait disparu après la fin de la discussion mais elle revenait rapidement avec à manger. C'était une gauffre encore fumante, elle me la tenids en disant, acompagné d'un sourire:
<< è necessario essere affamati >>
J'attrapa la gauffre et prononça un merci en anglais pour qu'elle me comprennes avant de croquer dans la gauffre encore chaude. Je l'engloutis rapidement, mort de faim. L'inconnue, elle, s'était assis à côtéet elle me regardait d'un oeil protecteur puis je remarqua qu'elle semblait réfléchir. Que pouvait-elle penser? Surement se demanda-t'elle d'où je venais et pourquoi aussi j'étais à présent là?
<< Samuel... You like? >>
Je fûs étonné, elle était entrain de chercher un nom... Pour moi? Je souria content, ce nom me convenait, je l'aimais même et je lui répondis d'une façon enjoué:
<< Yes! >>
~Une nouvelle famille~
l'inconnue qui m'avais aidé se nommé Leticia, elle était mariée avec une homme de grand taille et qui était un entraineur d'un club de tennis. J'étais parmis eux deux, le seul enfant qu'ils avaient.
Les journées s'y écoulaient paisiblement. Léticia, que je considérais comme ma mère, m'appreis l'italien et dont je pris un grand plaisir à étudier. Très rapidement je suis tenir une conversation, enfin basique encore mais je m'en sortais et je continuais à apprendre.
Souvent l'après-midi, ma mère travaillait et je passais donc mes journées avec mon père. On s'attendais commme deux amis et ils m'emmenait souvent à ses cours de tennis qu'il donnait à des enfants ou des adultes. Un jour, je lui demande à se qu'il m'aprennes à jouer au tennis. Sa le rendait lui aussi heureux que je m'y intéresse , que moi d 'apprendre à jouer. Voir d'autre personnes jouaient au tennis m'avais donné envie d'essayer. J'y pris rapidement goût, sa devint très vite une passion que je partageais avec mon père. Que je joua avec mon père ou encores des enfants qui avait quasiment le même âge que le mien et avec qui j'avais pu devenir amis.Je fe^ta même mes douze ans le mois de juin, un jours pris au harsard car je ne pouvais pas me repeller le jour exacte, j'avais effacé de ma mémoir tout mon passé de mon ancienne vie. J'étais à présent heureux comme la plupart des enfants de mon âge.
~Le voyage sans retour~
Mes parents voulaient voir le Japon, mais ce qui devait être au début qu'un simple voyage se transforma en quelque chose de plus important, un projet de vie. J'étais face à cette idée sans aucune objection, j'étais même content de découvrir un nouveau pays ainsi qu'un nouveau mode de vie surement différent. Mais en même temps j'étais un peu trisqte car j'allais devoir quitter mes amis ainsi que mon pays natal. Pendant un an ou deux nous apprenions la langue mais je ne renonçais jamais à mes après-midi à jouer au tennis, où, à présent, j'avais atteint un niveau haut.
Ce fût à l'âge des mes 15 ans que nous partîmes au Japon. Pendant un an, je n'alla pas en cours, faisant par correspondant, préférant le familiariser avec cette nouvelle langue même si, de temps en autre, je parlais en italien avec mes parents.
On commença un jour à chercher un lycée avec les parents où je pourrais aller et qui me plairait aussi. Il y en avais un qui nous intriguait ainsi que son nom restait graver dans notre mémoire. Ce lycée? Il se nommait Reverse school. Mais il y avait là un problème, pour y aller, il fallait que je "quitte" mes parents, mon foyer. Je le fis, avec un peu de tristesse mais qui disparu après, aux porte de ce nouveau lycée.