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Don't think is enough... [Terminée. Attention, l'histoire aborde des sujets tabous et violents tel que le viol, les tournantes, la zoophilie... etc. Ne pas lire si sensible.]
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MessageSujet: Don't think is enough... [Terminée. Attention, l'histoire aborde des sujets tabous et violents tel que le viol, les tournantes, la zoophilie... etc. Ne pas lire si sensible.] Don't think is enough... [Terminée. Attention, l'histoire aborde des sujets tabous et violents tel que le viol, les tournantes, la zoophilie... etc. Ne pas lire si sensible.]   EmptyVen 2 Mai - 14:32



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Kazuru Minemeya
”Soyons amis.”



NOM : Minemeya
PRÉNOM : Kazuru
SURNOM : Kazu
ÂGE : 16 ans.
TAILLE : 1m70
POIDS : 60 Kg
GROUPE : Dangerous Dumbass
DATE DE NAISSANCE : 15 février
LIEU DE NAISSANCE : Japon
ORIENTATION SEXUELLE : Homophobe
PRÉFÉRENCE RP/RPCB : RPCB
AVATAR : VY2 Vocaloid




So Beautiful You Are

Ouvre les yeux et tu découvriras par toi-même cette couleur qui découle sur ses épaules. Un rose clair qui se dégrade vers le blanc. Ils tombent telle une pluie de cristal, mèches par mèches. Ces mèches colorées naturellement encadrent de même ce visage fin. Remontée par le vent et légèrement ondulée, sa chevelure cache généralement une bonne partie de ses yeux. Derrière ces quelques mèches rosées se cache un rouge rubis luisant. Ses yeux, orbes brillants, glacent le sang par sa couleur prenante de l'émeraude éclairée en pleine lumière. Dangereux, fins, perçant, ses grands yeux élégamment tirés en amandes, te refroidissent pourtant par leur sincérité profonde et glaciale. En effet, tout est synonyme de glace dans ces yeux si flamboyants et éclatants. Lorsque ton regard passe plus bas, tu peux voir un nez fin, aquilin, doté d’une petite courbe entre les deux yeux et repartir en trompette, et enfin après le creux qui joint le nez à la bouche, des lèvres fines à peine coraillées définissent d’elles-mêmes le caractère particulier de l’interlocuteur qui se trouve en face de toi. J’en ai dès à présent terminé sur ce visage, tu vas pouvoir t’attarder sur ce long corps longiligne et bien équilibré, bien que musclé partiellement. Effectivement, ce qui se tient face à toi ne manque pas de croquant. Grand, mais pas, trop, il n’a gagné que quelques centimètres de plus que la norme définie au Japon, atteignant ainsi un mètre septempe et quelques cinq centimètres en plus, rien qui n’est réellement impressionnant. Il en va de même de cette musculature fine sans être inexistante. Tous ces muscles cachés dans ce corps ne sont entretenus que pour éviter de prendre de la graisse et de la cellulite, mais sinon, il n’est pas question qu’ils puissent trop gonfler et que ta vision se fasse agresser par un homme trop costaud. Cependant, c’est un plaisir agréable de pouvoir remarquer des abdos finement sculptés et solides, ainsi qu’un bassin noté en V. Bien que doté de peu de muscles, tu te rendras compte que sa vitesse et sa souplesse gracieuses rattrapent facilement les brutes épaisses de bodybuilders. Ses jambes galbées, sont longues, longues et fines, rehaussées par des fesses rondes et fermes. Le tout de ce corps, enfermé dans une peau laiteuse et blanche. Ses cheveux son recouverts d'un bonnet large, et son dos est tatoué de dragons tels que l'ouroboros. Il est magnifique sous la lumière artificielle d'une lampe.

Like An Angel

Calme et posé, c’est les premières impressions qu’il te donne. Aimable et serviable, les secondes. Glacial et indifférent aux troisièmes. Tu le trouves difficile à cerner, ne t’en fais pas, tu n’es pas seul. Il est comme ça, lunatique et particulier, il n’est pas facile de comprendre son comportement et à quel moment il deviendra ce qu’il est réellement. Comme tu te plairais à le croire, il n’est pas hypocrite, pas du tout même, il cherche juste à éviter tout conflit. Un compliment qu’il te fera, il le pense, quelque chose qui lui déplaît, il te le fera remarquer également, rien est à prendre comme une réelle critique. S’il en a marre de toi, il te le fera ressentir avec délicatesse et adresse. Peu grossier, il te parlera d’un langage presque châtié sans être pompeux. Il tâtonne dans plusieurs façons de parler.
Ne prends jamais réellement pour toi ce qu’il dira. Il ne te déteste pas, en fait il ne déteste personne, mais il ne t’aime pas non plus, comme il n’aime personne. Quel complexe personnage me diras-tu, en effet, mais je t’avais prévenu. Sa douceur et sa gentillesse sont la même façade que sa froideur et sa manière directe d’annoncer les choses. Si bien que les pieds sur lesquels tu danses sont incertains pour qu’au final, tu n’oses pas lui adresser la parole.
Tu seras flatté lorsqu’il te baisera tendrement la main, mais tu seras humilié lorsqu’il poussera le bouchon un peu trop loin en te disant que tu sens l’urine de chat, et ce dans la même seconde sans que tu ne saches pourquoi.
Ce à quoi il faut t’attendre, c’est une haine pure et profonde de toute son âme lorsque tu lui annonceras ton homosexualité. Malheureusement pour toi, il est homophobe, il te détestera, il ne fera plus que t’humilier, te torturer mentalement, presque cracher sa haine sur toi. Il ne sera plus d’aucune pitié, il pourrait aller jusqu’à violer ton corps sans vergogne, sans remord. Mais il ne t’en détestera que plus, ce toucher le dégoute, l’écœure, lui donne cette remontée acide qui veut sortir en bile. Tout n’est plus que rejet sur l’être que tu es devenu pour lui. Tu ne vaux pas mieux qu’un animal maintenant qu’il sait ce que tu es. Il te déteste, il te rejette, mais il te garde pour mieux t’humilier. Il t’amadouera de jolies paroles pour que tu restes, mais éloigne-toi au plus vite, ou il te fera connaître un sort pire que la mort. Eloigne-toi le plus loin possible avant qu’il ne te fasse du mal… En fait non… Reste… Il a besoin de toi… Mais tu ne sais pas pourquoi… Il faut que tu restes et que tu comprennes cette haine si profonde pour ce que tu es…
Qui se tient devant toi ? Un connard sans cœur ou un homme bienveillant. Ce sera à toi de le découvrir parmi les aventures que tu pourras vivre avec lui. Non... En fait non... Tu te trompes... Tout ça n'est que pour t'amadouer... Il n'est pas gentil... Il te manipule, ça l'amuse...



Once Upon A Time

Tu veux mieux le comprendre, mieux comprendre cet être qui t’exècre, qui te déteste pour ce qui pour toi sans raison valable ? Très bien, tu vas connaître son histoire, son histoire à la fois si triste et si terrible. Prépare-toi mentalement à l’avance, les larmes t’en tomberont peut-être, tu seras peut-être dégouté et écœuré, tu ne voudras plus t’approcher de lui, mais il ne t’en voudra pas. Souviens-toi, il ne t’aime pas.
Installe-toi, je te raconte son début, avant même sa naissance, que tu comprennes rien que sa venue au monde. Yuki Minemeya, une jeune femme très belle, aux traits japonais parfaitement visibles malgré ses longs cheveux du même rose que ton interlocuteur.  Un joli visage et un joli corps, elle venait de terminer ses études, au plus bas des résultats permis. Elle était moyenne, elle ne travaillait pas non plus. Elle vivait juste aux dépends de ses parents, trop aveuglés par leur travail pour voir quelle était cette personne si exécrable que cette jeune fille. Détestable, pourrie gâtée, et pourtant reine avec tout homme à ses pieds lorsqu’elle criait son ‘désespoir’, elle roulait ses professeurs dans la farine et à humilier toutes ces personnes qui ne méritaient pas son attention. Oui, tu peux en effet t’apercevoir que les pestes ne sont pas que d’actualité.
Ainsi donc, arrivée à la fin de ses études, la jeune fille, s’octroya un voyage à Londres, seule, et ainsi faire toutes les dépenses possibles et imaginables, peut-être rencontrer son prince charmant comme elle le rêve si bien, si naïve et si stupide en même temps. Dieu qu’elle est drôle, moi-même en ris-je, ris avec moi avant de me détester lorsque tu connaîtras la suite.  Elle fut bien arrivée et bien accueillie dans ce lieu encore inconnu. Installée dans une suite confortable, elle y passa des jours entiers accompagnée d’une jeune femme charmante et timide qui lui servait de guide. Mais lorsqu’elle eut fait le tour des boutiques environnantes, elle s’ennuya rapidement, les sacs et paquets donnant du mal à marcher à sa pauvre guide qui n’osait pas se rebeller, de peur de se faire virer. Alors elle suivait sans se plaindre. Quelques jours suivants, elle alla se mettre à l’aise dans un bar peu fréquentable, toujours suivie de la charmante petite jeune femme. Ce jour-là, elle croisa le regard d’un bel homme qui eut tôt fait de lui plaire. Grand, musclé, et forcément riche ! Que dire de plus, elle est assez pitoyable, tu ne trouves pas, parce qu’évidemment, elle en est tombée amoureuse lorsque son regard à croiser le sien.  Mais ils ne s’abordèrent pas immédiatement, se lorgnant juste de petits regards, et de sourires. La jeune guide quant à elle, resta un peu tendue, le regard baissé.
- Dîtes-moi, vous ne pensez qu’il serait temps de rentrer, il se fait tard…
Osa-t-elle se faire remarquer.
-Ferme-là donc, je suis bien ici !
Répondit-elle froidement.
Cette réplique eût donc l’effet d’une pique sur le jeune homme qui n’en sourit que plus.
Dans des heures tardives, la nuit ayant enseveli Londres dans un noir abyssal. La faible lueur des lampadaires leur permirent donc de pouvoir rentrer jusqu’à l’hôtel, la guide prenant congé lorsqu’elles furent à l’hôtel.
Le lendemain, la jeune femme se rendit dans le même bar, ce même bar un peu effrayant, mais qu’elle appréciait pour ce jeune homme qui se trouvait assis, seul, au comptoir. Oui, cela attira grandement Yuki. Le coup de foudre, l’amour trop rapide, tu ne trouves pas, attends la suite, je continue. Cette fois-ci, les regards étaient plus poussés, les sourires plus larges, au point qu’ils avaient finis par se rapprocher l’un de l’autre, sans pour autant s’adresser la parole. Ils restaient à une distance respectable, se jugeaient du regard, se dévoraient du regard. Cet homme était magnifique, des cheveux d’un blanc pur comme la neige, une mâchoire fine, digne d’un japonais, et des yeux… De ces yeux comme il est rare d’en voir, un rouge éclatant, prenant et si splendide. Oui, elle était sûre d’être tombée amoureuse de la bonne personne. Mais à nouveau, le temps la rattrapa et elle dût rentrer. C’est trop facile d’être méchant et de tomber amoureux, hein ? C’est vrai, c’est ignoble et ça énerve.
Elle apprenait aussi à connaître sa petite guide qui ne pipait plus mot, et elle commençait à lui faire vivre l’enfer. Pourquoi ? Tout bonnement parce que ça l’amusait. C’était tellement drôle de tuer les êtres inférieurs, de les détruire intérieurement. Pur plaisir sadique de la voir presque pleurer, et de voir surtout qu’elle ne contestait jamais ses ordres. C’était d’une jouissance impossible, un coup elle lui lançait une remarque déplacée, provocant l’hilarité des personnes autour d’elles.
-Dieu que tu empestes, retiens-toi enfin, tu peux laisser tes gaz sortir ailleurs ![ /center]
D’autres fois, son pied glissait accidentellement sous les chevilles de la jeune guide qui s’étalait de tout son corps sur le sol, lâchant les paquets qu’elle portait.
-Mais fais attention guenon ! Ce sont mes affaires que tu portes ! La prochaine fois, tu paieras de ta poche ce qui est tombé au sol !
Mais certainement que le plus terrible, fut lorsqu’elle abattait de sa lame, et que toute sa méchanceté la plus profonde ressortait d’un venin de sadisme, sur les petits défauts de rondeurs de la petite guide.
-Que tu es moche. Tu ne mérites pas ta place à mes côtés. Tu es obèse, ça en devient un poids pour moi. Quoique, heureusement, au moins je peux briller à tes côtés et je n’en deviens que plus jolie.
C’est dur, n’est-ce pas ? Se retenir de frapper cette langue de vipère. Retiens-toi encore un peu, ce n’est pas fini. Loin de là même, je n’en suis qu’au début.
Le troisième jour arriva, mais lorsqu’elle entra dans le bar, il fut d’un coup beaucoup moins intéressant. Effectivement, sans le beau jeune homme mystérieux, il était difficile de trouver son compte dans un lieu bourré d’ivrognes. Alors elle attendit. Elle attendit toute la journée en vain, son jeune prince n’arrivant pas. Puis elle poussa un ultime gémissement de désespoir, sachant qu’il ne viendrait pas. Alors elle poussa un soupir dépité, regardant vaguement autour d’elle. Lorsqu’il fut trop tard, elle rentra plus tard que d’ordinaire, la nuit bien plus sombre, les lampadaires éteints à cette heure-ci. La jeune femme traînassait des pieds, vexée que son homme ne soit pas venu, il lui avait fait perdre son temps, le lendemain, elle ne reviendrait pas ! Oui, je trouve aussi que l’amour fou est passé très rapidement. Mais attends, reste assis et écoute, tu vas avoir de quoi détester encore plus cette femme pitoyable, accroche-toi bien…
Perdues dans le noir, les deux jeunes femmes s’enfoncèrent dans des ruelles inconnues, les miaulements des chats, rauques donnant la trouille. Accrochées l’une à l’autre, elles se perdaient désespérément au cœur même de la ville, épuisées et affamées.  Puis des rires, des rires bruyants et effrayants. Yuki sursauta en se tendant, commençant à courir malgré ses hauts talons. Elles partirent comme des furies à travers les ruelles sombres, trébuchant, pleurant, essayant de fuir au péril de leur vie. Puis elles terminèrent dans un cul de sac, prisonnières de trois murs et d’un groupe de jeunes rider, chacun d’eux arborait un sourire carnassier.
-Alors les poulettes ? On est perdues ?
Paniquées, les deux jeunes femmes tentèrent de rester le plus éloigné possible.
-Ne vous en faîtes pas, on va juste en bouffer une toute crue, au moins, ouais, on en peut plus, on veut baiser !
Yuki finit par se redresser, fière, et droite.
-Très bien, je vous laisse ma guide !
Sur ce, terrifiante, elle les fixa, sous le regard terrifié de la jeune guide qui paniqua.
-Tais-toi ! Et écarte les cuisses, tu n’es bonne qu’à ça de toute manière !
Et bien malgré des choses, la jeune guide se fit violer devant ses yeux, cette femme tyrannique garda un large sourire en voyant la scène se dérouler devant ses yeux. Impitoyable, elle profita de la situation, visualisant cette tournante qui se faisait de marnière brutale et sans pitié. La petite guide pleurait, criait, mais personne ne lui venait en aide. Elle était condamnée à servir de repas sexuel à ces hommes qui lui écartaient les cuisses pour mieux la pénétrer chacun leur tour tandis que Yuki prenait en vidéo ce qui se déroulait devant ses yeux. Puis à l’aube, épuisés ils laissèrent à l’abandon la guide qui avait depuis bien longtemps perdu connaissance, le corps souillé de tous ces hommes qui lui étaient passés dessus. Elle reprit lentement connaissance, les larmes plein les yeux. La jeune femme la regarda hautaine.
-Sois à l’heure ou je te fais renvoyer.
Oui, je te comprends, toi aussi tu la détestes… Tu me détestes aussi de te raconter quelque chose d’aussi horrible… Ne m’en veux pas, du moins pas tout de suite, je n’ai pas fini de te raconter…
Quelques jours plus tard, en allant continuer ses boutiques avec un nouveau guide, cette fois bien plus compétent que cette sale petite pucelle d’après Yuki, maintenant, elle n’aurait plus à subir cette infernale gamine pleurnicharde. Puis elle le vit, grand, charmant et aimable. Cet homme qui avait fait chavirer son cœur. Elle ne savait pas si elle devait le détester de lui avait fait perdre son temps la veille, ou si elle devait s’extasier devant tant de prestance. Mais elle n’eut pas à l’aborder, ce magnifique jeune homme, lorsqu’il l’aperçut se forma d’un immense sourire, et vint presque aussitôt lui adresser la parole, et Ô Dieu, quelle voix rauque et sensuelle… C’était à souhait… Tellement magnifique. Elle retomba sous son charme immédiatement, les étoiles plein les yeux. Alexander de son nom, riche aristocrate, la merveille ! Elle serait vite mariée et riche avec un homme de cette trempe. La jeune femme rejeta  longue chevelure rose dans son dos en lui lançant un sourire charmeur. Ils s’entendirent illico, leurs centres d’intérêt se rejoignant. Oui, ils étaient faits l’un pour l’autre, c’était inéluctable.
Ainsi, elle passa le reste de son séjour avec ce jeune homme très charmant. Elle poussait de petits gloussements, abrutie par la classe de cet homme au regard écarlate. Et lorsque vint le soir du baiser, elle en fut toute retournée. Cependant, elle resta un peu vexée de la retenue de cet homme, il était terriblement mystérieux, et elle trop curieuse. Alors, elle essayait à tout prix de mieux le connaître. Seulement, ses résultats restèrent bien vain, l’homme garda en secret ce qu’il ne voulait pas lui dire, alors, ils restèrent ainsi, à se côtoyer toute la journée, à discuter d’elle, elle s’envoyait d’ailleurs généralement des fleurs sans aucune honte de son caractère ignoble. Et lui, il l’écoutait silencieusement, souriant à chacune de ses répliques.
Enfin, lorsqu’arriva la veille de la fin de son voyage, elle sembla triste de devoir le quitter. Elle fit préparer à regret ses affaires. Puis elle vint le voir rapidement, lui demandant de la rejoindre au Japon. C’est bête, hein, elle est stupide, tu trouves aussi, hein ? Ou lui, tu trouves aussi ? Attends un peu, tu vas enfin jouir de voir le déroulement de cette histoire.
Aussitôt le jeune homme se saisit des mains de la jeune femme avec un sourire poli. Il accepta volontiers, mais à condition, qu’il l’emmène dans un endroit secret, et elle n’hésita pas un instant, heureuse de pouvoir vivre un jeune homme riche et beau.
Mais contre toute attente, il ne s’agissait pas d’un bel endroit romantique, elle se trouvait dans un vieux hangar où de l’eau croupie et verte empuantait le lieu. Mais elle n’eut le temps de rien dire, elle se retrouva face à sa jeune guide, pendue au plafond de ce hangar, le regard vide et le corps commençant à se décomposer. La jeune femme poussa un cri d’épouvante avant de se redresser en ricanant.
-Mais quelle puanteur ! Que faisons-nous là ?! Oh ! Mais c’est cette guenon, qu’est-ce qu’elle fait là ? Oh et puis ça ne fait pas une grande perte, elle ne manquera à personne ! Mais chéri, pourquoi m’as-tu emmenée ici ?
Soudain, son regard de tétanisa.
- Son nom est Irina, et il s’agit de mon adorable petite sœur qui faisait tout pour bien travailler. Asséna froidement son interlocuteur, son regard étant devenu dangereux . Elle est rentrée un soir en larmes, personne n’a compris ce qui s’est passé. Elle n’a rien voulu dire. Lorsque  je t’ai vue pour la première fois, je t’ai tout de suite haïe, et maintenant encore plus après ce qu’elle m’a raconté sur cette nuit-là… J’ai dû la forcer… Puis elle a eu du retard, elle s’est tout de suite inquiétée, malgré la peur qui lui tordait le ventre… Et tu veux savoir quoi ? Par ta faute, mon adorable petite sœur est tombée enceinte…  À CAUSE DE TOI ELLE A ETE JETEE À LA PORTE ! Elle n’avait plus rien… Alors elle s’est suicidée… Au loin du regard de tous… Maintenant…  elle est morte ! Et toi, tu vas payer !
La jeune femme prit peur, reculant d’un pas, terrifiée, mais elle n’eut pas le temps de s’enfuir, un coup l’assommant aussitôt. Et lorsqu’elle reprit connaissance, elle était entourée d’hommes nus qui la regardaient comme si elle était à vendre. Puis elle entendit la voix de son cher Alexander.
-Je mets en vente la virginité de cette jeune femme, virginité qui a été confirmée par un médecin. Elle n’a jamais connu la bite ! Mais elle y goûtera ce jour-même ! Ploya-t-il avec un large sourire carnassier.
Les montants augmentèrent à une vitesse folle, avant qu’un homme assez grand et musclé se place entre ses cuisses, comme si tout cela était normal. Et en ce moment même, Yuki, pleurait, suppliante, se débattant avec violence.
- Interdiction de jouir en elle, je me garde ce privilège.
Et le mastodonte releva ses cuisses en venant la pénétrer sans préavis, violent et sans passion, il la baisa pour son propre plaisir, la jeune fille criant de douleur et lui, poussant des gémissements rauques avant de se retirer et d’éjaculer sur son visage. Et ainsi s’en suivirent les différents hommes qui avaient payé pour goûter une nouvelle chaire. Ils continuèrent jusqu’à ce qu’elle tombe, mais avant qu’elle ne puisse totalement sombrer, elle sentit une dernière personne écarter son sexe douloureux.
-C’est humiliant, n’est-ce pas ? Alors maintenant, tu vas encore subir, et tu vas pouvoir sentir le sperme d’un homme te souiller, jusqu’à ce qu’à ton tour tu attendes un enfant, et je serai sans pitié.
Rapidement, son membre se gonfla de sang, et il commença à la pilonner sous les plaintes suppliantes de la jeune femme. Essayant de garder sa dernière dignité, mais lorsque tel le venin, son sperme se projeta au plus profond d’elle, elle hurla, avant de pleurer des larmes à n’en plus pouvoir.
Durant des jours entiers, il la prit, la pénétra, la violenta, la tortura mentalement. Il profita de son corps, encore et encore, éjaculant en elle, sur elle, dans sa bouche. L’humiliant et lui faisant subir le même traitement que sa sœur avait subi, jusqu’à ce qu’un jour, le test de grossesse se révéla positif.
Enfin, n’est-ce pas, c’est ce que tu attendais, n’est-ce pas, que la vengeance fasse rage et que cette femme paye ses infâmes crimes. Sache que tu es encore loin de savoir tout ce qui lui est arrivé. Je vais raccourcir dès à présent, j’ai été un peu long sur cette histoire. Dis-toi que lorsqu’elle est rentrée, ses parents l’ont mise à la porte, elle était une honte pour la famille, et maintenant qu’elle était seule, elle dût vendre son corps pour survivre, jusqu’à ce que son enfant naisse enfin… Cet enfant, elle le détesta aussitôt qu’il fut dans ses bras, mais elle le garda bien en vie. Cet enfant… Tu le connais déjà… C’est Kazuru…

Maintenant, je vais pouvoir te parler de Kazuru, que tu comprennes pourquoi il te déteste tant, pourquoi il hait tant les homosexuels.
Déjà, tout petit, Kazuru était bien entouré de sa mère qui travaillait dur, et qui lui donnait tout son amour. Elle semblait toujours là pour lui, mais un mal-être régnait entre eux. Surtout lorsque la mère s’aperçut horrifiée que son petit garçon, en grandissant était le portrait craché de son père, ses premières mèches apparaissant comme étant blanches et ses grand yeux, étaient d’un rouge écarlate effrayant. Juste la forme ronde et pomponne de son visage rappelait celui de sa mère. Tellement beau, de longs traits fins et légèrement efféminés. Il n’y avait rien à redire, c’était un enfant magnifique.  Le jeune garçon, apprit à marcher presque seul, sa mère n’étant jamais à la maison. Pour être sûre qu’il ne meure pas de faim, elle lui coinçait un biberon pour qu’il boive seul et le changeait que le soir jusqu’à ce qu’il devienne autonome. Le langage en revanche lui était quelque chose de difficile, il n’avait que très peu d’exemples alors il tentait de s’exprimer par de petits gestes timides. Ce qui intimidait d’autant plus le petit garçon, c’était lorsque sa mère ramenait des hommes différents chaque soir et qu’il l’entendait hurler et gémir. Il ne faisait aucun bruit, mais il pleurait silencieusement. Et lorsqu’il se faisait légèrement remarquer, sa mère le frappait et le battait presque à mort sans jamais l’achever, le gamin n’avait sorti aucun son et s’était contenté de souffrir en silence, mais il pleurait. Il pleurait sans jamais se plaindre.
Arrivé à l’âge de ses cinq ans, le petit parlait s’exprimait difficilement, mais n’avait aucun mal à se faire comprendre. Il ne comptait plus sur sa mère et se débrouillait seul à la maison. Il rangeait, il nettoyait, il faisait les courses, il ne parlait jamais. Il allait le matin à l’école, les maîtresses n’ayant jamais vu la mère, et gardaient le garçon comme s’il n’avait pas de parents, mais en soit, c’était tout comme. Un jour, pendant que sa mère mangeait, alors qu’elle était au bord de l’anorexie, les traits tirés, il osa demander des renseignements sur son père, un peu curieux, ce jour-là sa mère lui retourna la table dessus, avant de le laisser inerte, comme mort sur le sol de la petite cuisine. Il n’aborda plus jamais le sujet de son père.
Le garçon était un gentil garçonnet, adorable et gentil, tout le monde l’adorait à l’école tant il était serviable. Peu bavard, mais gentil. Jusqu’au jour, où hors tabou, il voulut essayer ce qu’il avait vu faire par sa mère qui s’était faite prendre en plein milieu du salon par un homme qu’il ne connaissait pas. Il avait été très curieux de savoir ce qu’ils faisaient tous les deux. Alors une fois arrivé à l’école, il s’approcha de la première petite fille qu’il croisa et qui le suivit docilement et comme amoureuse. Kazuru l’emmena dans les toilettes, recopiant chaque geste de l’amant de sa mère, il la colla à la porte, musela ses lèvres de sa petite main puis écarta les cuisses de la fillette. Là, il fit rentrer son pénis qui n’était pas encore formé, qui n’était pas encore en âge de se gonfler, mais il tenta l’expérience, bougeant en elle, ce contact lui apportant un certain plaisir malsain. La petite fille quant à elle n’en menait pas large. Elle ne savait pas ce qu’il se passait, elle avait peur, elle pleurait, n’ayant jamais été touchée de la sorte.
Lorsque le petit garçon se lassa du contact, il la relâcha, et la regardant avec le même air violent de l’homme, il lui annonça froidement.
-Tu n’as pas intérêt à en parler à qui que ce soi !
Tremblante, la petite fille acquiesça vivement avant de déguerpir en vitesse, honteuse. On n’entendit plus jamais parler de cette histoire.
Kazuru gagna encore quelques années, vivant toujours à ses propres dépens, vivant sans la présence paternelle, ni celle maternelle, ne connaissant pas vraiment l’amour parental. Et plus il grandissait, plus ses traits devenaient ceux de son père et plus sa mère détestait ce petit bout. Le seul trait caractéristique de sa mère qui en sortait était ses cheveux. Bien que blancs à la base, un dégradé de rose s’était formé sur l’ensemble de ses mèches. Le petit garçon était quelqu’un qui était devenu solitaire, restant en retrait ne se faisant pas remarquer. Puis le jour de son dixième anniversaire, la mère prit son enfant par le poignet, avec un large sourire joyeux.
-Allez mon petit cœur ! Viens avec maman ! Tu vas lui faire gagner beaucoup d’argent. Et puis c’est ton anniversaire, hein c’est ton anniversaire, oui, maman va te faire un beau cadeau… Très beau cadeau, tu vas grandir d’un coup.
Innocent et naïf, le petit était enfin content de recevoir de la reconnaissance de sa mère, alors il la suivit sans se méfier, souriant et joyeux.
Là où elle l’emmena, fut une immense villa, entourée d’hommes armés. Intimidé, le garçon s’accrocha à la jambe de sa mère.
Tu veux savoir, hein ? Ce qu’elle va faire t’intrigue, mais connaissant le caractère mauvais de cette femme, tu te doutes ce qui attend Kazuru, hein ?
Sans se défiler, la jeune mère tira son fils jusque dans la villa, elle le traîna dans les larges couloirs, couverts de baies vitrées avant de déboucher jusqu’à un grand bureau. Un homme de grande taille, était posément assis dans un fauteuil rouge sanguine. Il tenait un cigare entre ses doigts, et le garçonnet crut reconnaître l’homme qui avait pris sa mère dans le salon.
-Voilà, je vous ai emmené mon fils comme promis, maintenant je veux mon fric.
L’homme l’avisa calmement avant de lui faire signe d’approcher. La femme, avare, vint tout de suite se mettre face à lui. Celui-ci la saisit par les hanches, la tirant pour l’asseoir à cheval sur lui. Il défit son pantalon puis la pénétra sans préavis sous le regard médusé du petit garçon qui ne comprenait pas grand-chose. Le Yakuza la baisa comme un animal en rut avant de lui pointer le canon de son arme à feu sur la tempe de la jeune femme.
-Bon, écoute poupée, t’as été une bonne chienne, mais maintenant que j’ai ton gosse, j’ai plus besoin d’toi et puis c’est la crise, alors, ciao.
La jeune femme le regarda éberluée, avant de gémir quand il éjacula en elle, puis appuya sur la détente. Le sang gicla, puis il se remit à bouger dans le corps inerte qui avait basculé en arrière. Il se lécha les lèvres en ricanant. Kazuru écarquilla les yeux avant de frapper de ses petits poings l’homme qui se tenait face à lui.
-NOON ! Qu’est-ce que vous avez fait à ma maman ! Rendez-moi ma maman !
Le garçon hurla, pleurant toutes les larmes de son corps en secouant le bras du grand homme qui le repoussa d’un geste du bras. Kazuru fit un vol plané, s’écrasant lourdement au sol.
-La ferme, gamin, je m’occupe de toi plus tard.
L’homme atteignit rapidement son deuxième orgasme, jetant le corps de la femme sur le sol. Le petit garçon accourut près du cadavre de sa jeune mère, la serrant dans ses bras en pleurant comme il n’avait jamais pleuré. Le yakuza ramassa l’enfant par le bras avec un large sourire sadique.
-Ta mère ne m’a pas menti, tu es  devenu un sacré morceau depuis la dernière fois… Je vais me faire un plaisir de te dresser…
Il le souleva pour l’examiner sous toutes les coutures, avant qu’effectivement il s’occupe de son dressage. Tout d’abord, il vit que le jeune garçon n’était pas encore apte à supporter le corps d’un homme en lui. Il l’empêcha de s’enfuir, et s’occupa de son éducation, le changeant à plusieurs reprises d’école, puis il l’envoya dans l’une des plus prestigieuses.  Là, où le garçon fut un élève excellent. Cependant, il restait encore plus taciturne qu’avant, ne souriant que très peu, il était devenu un véritable mystère pour tout le monde.  Il restait bien évidemment d’une politesse grandiose.
Tandis, qu’à côté, il avait dû faire le deuil de sa mère, bien forcé par son tuteur. Ce même tuteur qui lui apprit tous les rites sexuels possibles et inimaginables sans pénétration. En effet, rares étaient les soirs où le garçon ne se couchait pas le visage plein de foutre.  Ce garçon n’avait plus le choix, il était devenu un objet sexuel. Et en retour, il avait perdu sa mère. Certes, maintenant, il vivait dans un véritable palace, mais sans choix, il dormait dans le même lit confortable que son tortionnaire, il ne dormait plus, devenant insomniaque, pleurant parfois.
Le plus terrible fut quand son tuteur l’attrapa par le visage pour qu’il le suce en plein milieu d’une réunion, entouré d’hommes qui le regardaient comme s’il était un bout de viande. Ils avaient pu voir que le garçon était d’une docilité déconcertante, et que dorénavant il se servait très bien de sa langue, et à contrecœur.
Lorsqu’il atteignit ses treize ans, son tuteur le jugea prêt, prêt à devenir ce qu’était devenue sa mère. Et à la fin, il mourrait comme elle. À cette pensée, ses yeux s’emplirent de larmes. Il ne voulait pas finir comme ça… Pas à cet âge…
Cette nuit-là, il n’avait jamais autant crié, pleuré et supplié. Lorsque son tuteur écartait ses cuisses et revenait le pénétrer toujours plus violemment, excité par ses plaintes. Kazuru était perdu, au milieu de cette violence et de cette douleur, il ressentait du plaisir, et ça le rendait honteux. Il ne voulait pas ressentir du plaisir et encore moins avec cet homme. Et cette nuit-là, fut loin d’être la dernière. Chaque fois que son tuteur avait du temps libre, quand il en avait envie, quand il s’ennuyait, lui, il devait écarter les cuisses et attendre, pendant plusieurs heures, il servait de vide-couilles de cet être abominable. Kazuru commença à le détester… D’une haine profonde…
Durant trois ans, il s’imagina les pires vengeances, attendant patiemment, restant docile. Mais il crut craquer pour son seizième anniversaire, où il le laissa avec ses collègues pour assouvir leur faim. Ce jour-là, parfaitement conscient de ce qui allait l’attendre, le garçon s’enfuit à toute jambe, le plus loin possible, mais ce fut sans compter, le dog allemand qui le coursa avant de le chopper par la nuque pour l’empêcher d’aller plus loin.
Je ne te raconterai pas ce qui lui est arrivé, même si malgré tout tu dois t’en douter. La seule chose que je peux te dire c’est que le chien a rejoint la partie, et qu’encore une fois, Kazuru a crié, et n’espérait plus que mourir après cette humiliation.
-Au moins, la punition aura été à la hauteur de ta faute, tu m’as beaucoup déçu, tu sais…
Un large sourire carnassier étira les lèvres de son tuteur.
-D’ailleurs le chien de mon client t’a beaucoup apprécié, et il m’offre une énorme somme pour renouveler l’expérience. Tu n’as pas ton mot à dire.
Ses tentatives de suicides furent en vain, trop surveillé par son tuteur, et il continuait à subir continuellement les pires outrages et les pires tabous qui ne furent jamais dévoilés. Au lycée, il n’en était devenu que plus silencieux, tout lui semblait morne. Il détestait les hommes… Il détestait ce que l’on pouvait faire sexuellement à un homme, toute relation avec un homme il haïssait !
Finalement, ennuyé par ce garçon il l'envoya à Reverse School en cours d'année.
Voilà… J’ai terminé mon récit… J’espère que tu n’as pas été trop secoué… Et que maintenant tu le comprends… Soutiens-le le plus possible… Ah et une chose encore… Ne lui demande jamais ce qu’est cette clé autour de son cou…




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Don't think is enough... [Terminée. Attention, l'histoire aborde des sujets tabous et violents tel que le viol, les tournantes, la zoophilie... etc. Ne pas lire si sensible.]
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